Marie-Ange Guilleminot, L'Oursin, Atelier Calder, Saché, 2000
Extrait de la vidéo
Guillaume Blanc
Marie-Ange Guilleminot, L'Oursin, 2011
cl : Louise Bombaglia - © Frac des Pays de la Loire
Marie-Ange Guilleminot, L'Oursin, 2011
cl : Louise Bombaglia - © Frac des Pays de la Loire
Marie-Ange Guilleminot, L'Oursin, 2011
cl : Louise Bombaglia - © Frac des Pays de la Loire
Marie-Ange Guilleminot, L'Oursin, 2011
cl : Louise Bombaglia - © Frac des Pays de la Loire
Marie-Ange Guilleminot, L'Oursin, 2011
cl : Louise Bombaglia - © Frac des Pays de la Loire
Une performance de Marie-Ange Guilleminot
Réactivée par l’artiste le soir du vernissage de l'exposition Récits anamorphiques, présentée au Frac. « L’œuvre est avant tout vie, mouvement, transformation, « forme formante » aurait pu dire l’historien de l’art italien Luigi Pareyson plutôt que « forme formée », un acte mutant en somme dont L’Oursin (successivement pouf, sac-à-main, couverture, manteau, tente, parachute, voile, maison, méduse, citrouille, baleine ou linceul) donne assez bien la mesure, celle de l’origine, de la matière, autrement dit de ce que nous appelons l’inerte et qui pourtant déjà est la pensée.»