Frac



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Journées du Patrimoine

les 20 et 21 septembre 2014
de 14h à 18h
Frac, Carquefou

à l'occasion des Journées du Patrimoine


les samedi et dimanche à 15h30 : Le grand jeu des détectives (enfants à partir de 7 ans)

Venez résoudre des énigmes en découvrant (ce) qui maltraite les œuvres !

Au programme : une visite des réserves, des expérimentations autour des différents papiers utilisés dans l'atelier de restauration, un jeu autour d'une sélection d'œuvres de la collection. Qu'est-il arrivé au mètre carré de rouge à lèvres de Fabrice Hyber ? Qu'est-ce qui peut bien abimer une photographie !? Que faire pour protéger des œuvres fragiles ? Sensibilisation à la conservation et à la restauration des œuvres tout en s'amusant.

Informations et réservation au 02 28 01 57 62
complet le dimanche


les samedi et dimanche à 14h et à 17h : découverte des réserves

Les journées du patrimoine sont l’occasion de faire découvrir au public les réserves du Frac (600m2) qui abritent les 1600 œuvres de la collection (Yan Pei-Ming, Sophie Calle, Patrick Tosani, Orlan…). Les réserves, entièrement équipées et climatisées, permettent une gestion rationnelle de la collection dans des locaux différenciés (peintures, sculptures, oeuvres sur papier, vidéos). Le public peut également découvrir l'atelier de restauration destiné à devenir un véritable centre de ressources en matière de conservation préventive.

Informations et réservation au 02 28 01 57 62


les samedi et dimanche de 14h à 18h : visites commentées de l’exposition Gerard Byrne

Entre installation et exposition rétrospective, l’artiste irlandais présente à Carquefou des mises en scène filmiques finement documentées, qui voient débattre des personnalités du XXe siècle — artistes, écrivains, hommes d’affaire — de questions sociales et politiques de leur époque. Volontiers théâtralisés, les films de Gerard Byrne brouillent sans cesse la frontière entre document et fiction, entre Histoire et histoires. La matière première de ses dialogues et conversations, Byrne va d'ailleurs la chercher dans l’univers médiatique de sa jeunesse, que ce soit l’édition, la télévision ou la publicité. L’exposition de Gerard Byrne se veut un espace crépusculaire et énigmatique voué au ressouvenir : il incombe alors au spectateur-arpenteur de reconstruire du sens à partir des narrations modernistes savamment déconstruites par l’artiste.